- dim. 14 oct. 2007 09:04
#111932
DéJà Vue
Cette semaine en passant par Montréal, j’écoute la chanson de John Fogerty de CCR, Déjà vue. Cette chanson me touche, les mots sont tellement vrais. Alors, je la traduis et j’y ajoute quelque phrase, pour démontrer la folie de l’homme, pour des raisons politique et religieux.
DéJà Vue.
Est-ce que vous les entendez parlez à la radio ?
Est-ce que vous avez essayez de lire l’écriture sur les murs
Cette voix intérieure vous dit ce que j’ai déjà entendu auparavant,
C’est comme du Déjà Vu, il semble que c’est toujours à recommencer
Jour après jour, j’entends cette voix qui crie vers moi.
au commencement c’est avec un murmure, comme auparavant,
Mais avec le temps ce crie devient plus persistant.
Jour après jour, nous comptons les morts et les blessés au combat
Envoyer les corps a la maison par avion, tandis que les réseaux et les médias en faire le décompte.
Un par un, je vois les vieux fantômes qui se lèvent pour nous avertir des erreurs des temps anciens.
Lorsque la lumière est faible, je les vois, nous pointer du doigt, il semble me dire pourquoi, c’est toujours à recommencer.
Jour après jour, une autre mère pleure, elle a perdu son enfant si précieux, dans une guerre qui n’a pas de fin. Une mère en Irak ou D’Afghanistan, essais de se consoler en disant qu’il est devenu un martyre pour la cause, et pour Allah. Mais elle n’y croit vraiment pas a cette folie, mais elle doit s’accrocher à quelque chose, pour combler le vide qu’elle ressent dans sa vie.
En Virginie aussi une mère pleure. Elle pleure pour le père de ses enfants qui ne reviendra pas. Elle aussi s’accroche au fait que son mari est mort en faisant son devoir, devant l’État et Dieu. Elle non plus n’y croit pas. Ce dont elle a peur le plus, est du jour ou elle devra expliquer à ces enfants pourquoi leur papa est partit mourir dans un pays lointain pour rien.
Est-ce que vous les entendez parler à la radio ?
Est-ce que vous vous être arrêtez pour lire ce qui est écrit sur les murs ? Cette voix intérieure qui vous dit que vous avez vu tout cela auparavant, C’est comme du Déjà Vu chaque fois. C’est comme du Déjà Vu, mais personne n’apprend du passé ? Les personnes continue à mourir par la folie humaine de vouloir contrôler l’autre dans la vie et la mort. Au nom de la religion tu dois mourir, Au nom du pouvoir tu dois mourir. Tout cela est du Déjà vue, tout cela est arriver hier et se continue demain.
Quand est que les hommes vivront du respect des autres, aucun dieu doit dicter la mort du personne parce qu’il ne croit pas comme moi. Aucun pays doit être envahi pour m’approprier-leur ressources, c’est du vole. Quand est que les hommes vivront d’amour, Jamais probablement !
Source en partie : Déjà vue, John Fogerty.
Armand Paulin
Cette semaine en passant par Montréal, j’écoute la chanson de John Fogerty de CCR, Déjà vue. Cette chanson me touche, les mots sont tellement vrais. Alors, je la traduis et j’y ajoute quelque phrase, pour démontrer la folie de l’homme, pour des raisons politique et religieux.
DéJà Vue.
Est-ce que vous les entendez parlez à la radio ?
Est-ce que vous avez essayez de lire l’écriture sur les murs
Cette voix intérieure vous dit ce que j’ai déjà entendu auparavant,
C’est comme du Déjà Vu, il semble que c’est toujours à recommencer
Jour après jour, j’entends cette voix qui crie vers moi.
au commencement c’est avec un murmure, comme auparavant,
Mais avec le temps ce crie devient plus persistant.
Jour après jour, nous comptons les morts et les blessés au combat
Envoyer les corps a la maison par avion, tandis que les réseaux et les médias en faire le décompte.
Un par un, je vois les vieux fantômes qui se lèvent pour nous avertir des erreurs des temps anciens.
Lorsque la lumière est faible, je les vois, nous pointer du doigt, il semble me dire pourquoi, c’est toujours à recommencer.
Jour après jour, une autre mère pleure, elle a perdu son enfant si précieux, dans une guerre qui n’a pas de fin. Une mère en Irak ou D’Afghanistan, essais de se consoler en disant qu’il est devenu un martyre pour la cause, et pour Allah. Mais elle n’y croit vraiment pas a cette folie, mais elle doit s’accrocher à quelque chose, pour combler le vide qu’elle ressent dans sa vie.
En Virginie aussi une mère pleure. Elle pleure pour le père de ses enfants qui ne reviendra pas. Elle aussi s’accroche au fait que son mari est mort en faisant son devoir, devant l’État et Dieu. Elle non plus n’y croit pas. Ce dont elle a peur le plus, est du jour ou elle devra expliquer à ces enfants pourquoi leur papa est partit mourir dans un pays lointain pour rien.
Est-ce que vous les entendez parler à la radio ?
Est-ce que vous vous être arrêtez pour lire ce qui est écrit sur les murs ? Cette voix intérieure qui vous dit que vous avez vu tout cela auparavant, C’est comme du Déjà Vu chaque fois. C’est comme du Déjà Vu, mais personne n’apprend du passé ? Les personnes continue à mourir par la folie humaine de vouloir contrôler l’autre dans la vie et la mort. Au nom de la religion tu dois mourir, Au nom du pouvoir tu dois mourir. Tout cela est du Déjà vue, tout cela est arriver hier et se continue demain.
Quand est que les hommes vivront du respect des autres, aucun dieu doit dicter la mort du personne parce qu’il ne croit pas comme moi. Aucun pays doit être envahi pour m’approprier-leur ressources, c’est du vole. Quand est que les hommes vivront d’amour, Jamais probablement !
Source en partie : Déjà vue, John Fogerty.
Armand Paulin